vendredi 1 avril 2011

Les bus

Je pense que les chauffeurs de bus ne connaissent pas la souplesse. Non vraiment... En plus ils sont d'une amabilité... Dingue !

Et là encore je connais les déboires que dans les transports.

Récemment c'était, le pied coincé dans la porte. Comment réussir ce coup de maitre ? Je sais pas, demandez au chauffeur qui a faillit me broyer l'astragale ! 

Plus ancien : Le bus qui change de trajet. Alors on monte, et les stations ne sont pas celles de d'habitude. WTF ?! Ce gentil monsieur nous a cru devins ou quoi ? Il pouvait pas dire avant que la ligne changeait à cause de travaux ?

Ah les freinages. On va monter le décors : Une grosse dame, mon poignet, une barre. Pensant que le bus me sauverait des grèves, je suis montée confiante... Redescendue avec le poignet enflé. Comment une femme peut-elle, juste en tombant, retourner le poignet d'une autre ? Je sais pas non plus.


Sellyne ;)

jeudi 24 mars 2011

Les distributeurs

Je vais vous dévoiler un petit secret intéressant... Vous savez quand vous avez une petite faim, et que vous vous jeter avec votre monnaie sur un de ses petits distributeurs automatiques... Vous y introduisez 1€20 pour un Kit-Kat (I have a break, I have a KitKat), que vous dégustez avec plaisir, et bien sachez que vous vous faites royalement entuber. Savez-vous combien ils les payent eux les ces barres chocolatées ? Le prix d'achat est de 0,35€. Ah, oui, je vous l'accorde, vous commencez à bien la sentir là. Rajoutons qu'ils quadruplent quasiment le prix, ouais, je sais, là, ça vous fait carrément mal au cul...

Chers consommateurs, ne vous arrêtez pas à ça ! Continuez à consommer. Mais gardez une main sur vos fesses. Sait-on jamais...

Maintenant, un peu moins douloureux (pour vous) j'ai également quelques belles histoires ! Étant une espèce d'américaine j'achète en moyenne cinq barres chocolatées par semaine dans les distributeurs (petit calcul rapide 1,20 fois 5, heum, 6 putain d'euros par semaine), il m'arrive aussi des gribouilles.

La première, il me semble que c'était un jour de grève, étant tellement nombreux je ne saurais vous dire lequel, je me suis rendue sur la ligne 1. La belle jaune oui. Et, voyez vous, il y avait un monde dingue, je savais que je ne pourrais monter au prochain métro. C'est donc pour cette raison que mon estomac m'a rappelé que je serais en retard à la maison, et que mon goûter passerait à la trappe. Je me suis jetée sur un distributeur, armée d'une pièce de deux euros. Je l'ai délicatement posée en repérant le numéro des kitkat. Et au moment de monter le petit levier... Rien. La pièce n'a pas été prise. J'ai recommencé quatre ou cinq fois. Énervée, j'ai fini par changer de machine. Cette autre machine, je l'ai maltraitée, j'y suis allée comme une bourrine. Me coinçant le bout du doigt avant de voir ma pièce avalée. Ah oui, ça picote...

La deuxième, qui nous est tous arrivée ! On met la pièce, on tape le code. On attend, on attend, on attend... ZzZzZzZzZz... On hurle. Ni Kitkat, ni pièce rendue ! La rage n'est-ce pas ?

La troisème, un peu dans le même style ! On met donc notre argent, on tape notre petit code. On regarde l'automate jouer son rôle, et arf, il se gourre. Non mais je ne voulais pas la bouteille d'eau... C'est une machine spéciale régime ou quoi ?!




Au XVIIe siècle nous voyons apparaitre les distributeurs de tabac à priser. Déjà au début du XXe siècle des distributeurs automatiques étaient présents dans le métro parisien.
C'est cependant avec l'industrie et l'urbanisation que l'on a vu se développer ce type de machines qui répondait à une demande sociale.
Quant au premier distributeur automatique de billet, il a été installé en juin 1967 à l'agence Barclays de Enfield en Grande Bretagne, son inventeur, John Shepherd-Barron travaillait chez De La Rue. Il distribuait des billets de 10 livres en échange d'un bon en papier inséré par le client qui tapait ensuite son code à quatre chiffres.


Sellyne ;)

mercredi 23 mars 2011

Les boutiques...

Il y a sur les quais bien souvent, des petites boutiques. Les "Bonne journée", "Bonne soirée", etc.

J'y ai connu quelques mésaventures.

Quand on vient du Sud, on dit "Chocolatineuh", et non pas "Pain au chocolat". Normalement, tout le monde sait ça. Sauf que le soir, exténuée et encore une fois de mauvaise humeur (bizarrement c'est quand je suis mal lunée qu'il m'arrive des trucs moi...), je me suis rendue dans un de ses "Petit magasin". Un homme m'a demandé ce que je souhaitais prendre. Bien évidement j'ai demandé une "Chocolatineuh". Il m'a répondu "Un pain au chocolat et ?", j'ai commencé à râler... Non je voulais une chocolatine, pas un pain au chocolat ! M'entendant lui répondre ceci, il m'a demandé si ce mot venait du sud. Avec une moue de gamine j'ai répondu que c'était le cas, et que ces pièces, elles, elles venaient de ma poche. Le pauvre, j'espère qu'il n'a pas beaucoup de cliente comme moi.

J'ai aussi connu les gars qui restent des heures pour payer. Alors que bon, tu veux juste payer ton Glamour, et te casser. Au bout du deuxième RER raté, tu commences à t'impatienter ! Alors, tu gueules. Et tu passes devant. Pourquoi payent-ils avec des pièces de 1, 2 et 5 centimes ?!

Dans le style, il y a aussi "Bonjour, vous avez des piles ?", "Euh non". Ah bah voilà, ils servent à rien... Là au moins, tu perds pas ton temps !
Si nous revenons aux viennoiseries j'ai une deuxième anecdote. Affamée, je regardais les beignets... J'en ai donc acheté un ! A la pomme parce qu'au chocolat il n'y en avait plus. Il ne faut surtout pas en prendre. Non vraiment. Trop gras, tellement que je croyais avoir renversé un tube de vaseline sur mes mains. En plus je croyais que la pomme c'était bon... Et ça l'est ! Mais la compote périmée et trop chaude, nettement moins. Méfions nous des beignets à la pomme !


Un beignet est un mets sucré ou salé, fait d'une pâte assez fluide frite dans l'huile.
 
Sellyne ;)

Les quais...

Sur les quais là aussi on trouve des choses formidables.

Les petits amoureux qui s'emballent comme avant sur les bancs publics, les gens qui tapent du pieds comme si ça allait faire venir le métro plus vite, les gens bourrés qui gueulent sur les distributeurs automatiques ou dorment sur les bancs.

Qu'a-t-il pu m'arriver sur les quais vos demanderez vous. Quelques petits trucs !

Premièrement, il m'est arrivé de hurler "Il y a un rat !" pour voir combien de personnes allaient hurler. Un bon paquet. Vraiment, c'était drôle ! Ils courraient en tous sens.

Deuxièmement, il m'est arrivé de me faire draguer, et oui... Par des gens au physique assez euh étrange. Dans ces cas là, en général j'ai plusieurs technique, une "Oups un appel, navrée", deux "Heu sorry, heu, je euh, speak pas twop le euh french... Goodbye...", trois "Navrée, je vous trouve très moche.". La troisième sachez le, est euh, dangereuse ! Un homme une fois m'a hurlé que j'étais un thon, mélangé à une baleine. Je suis devenue rouge.


Quand les riches se font la guerre, ce sont les pauvres qui meurent. 
[Jean-Paul Sartre]


Sellyne ;)

La ligne 9 !

Joli vert tirant sur le jaune n'est ce pas ? On va appeler ça Jaunâtre ou Jaune pisse qui lui convient mieux si on compare l'odeur à la couleur. Cette ligne à la fois rapide et lente. Petit bug sur petit bug, au final, on est retardés !

Oh là aussi j'en ai vécu des choses ! Notamment pendant mon job de baby-sitter (que le pôle emploi préfère appeler garde d'enfants) où je la prenais 2 fois par jour mais ça trois fois par semaine, si qui nous donne six fois sur une semaine. Pas mal pour ce donner une petite idée de la ligne. Allez je vais tout vous dire !

Il y a eu ce jour où à Porte de Montreuil j'ai vu sur le quai un joli petit rat bien dodu et marrons qui s'amusaient avec une canette de bière vide. Les gens courraient loin de lui. Oh le pauvre comme il devait se sentir seul, et bourré... J'espère pour lui (et malheureusement je pense bien être une des seules sachant que oui Paris est rempli de rats) qu'il n'est pas tombé sur les rails...

Il y a eu cet autre jour, où une bande de "Wesh" m'a alpagué pour me prendre mon numéro de téléphone, et où j'ai du hurler que j'étais prise ! Bizarrement ça ne les arrête nullement. Ils savent se montrer horriblement lourds. Vous connaissez mesdames toutes le "Wesh, euh, mamzelle, t'es charmante sérieux, tu as un numéro ? Vas-y fait pas ta pute, t'as un portable j'l'ai vu wesh !"... Désagréable. 

Il y a aussi les racistes. Pas dans le sens premier où on le voit, pas celui où le vilain blanc alcoolique et beauf de premier crie que les blacks doivent retourner dans "leur pays". Non non, il y a aussi ces adorables "Wesh de base" qui vous regardent plus avec leur queue que leur yeux. Ce regard inexpressif et cet bosse sous la ceinture en dit long. Il vous aborde en général de la même façon que les autres Wesh. Mais eux, quand vous leur répondre que c'est "No way", ils vous disent "Wesh t'es qu'une raciste meuf, tu votes FN t'as vu ! Vas-y sale française de merde". Alors là si vous tentez de lui répondre "Excuse moi euh mon frère wesheuh euh, mais vois-tu tu es plus raciste que moi ! Tu ne te serais jamais permis de me dire ça si j'avais été noire ! De plus tu me juges là aussi à la couleur de ma peau, et euh mon frère euh wesheuh tu es aussi français que moi je te rappelle...". Oulah à ne surtout pas faire, ils sont équipés de crachat long portée ! Ce cas m'est aussi arrivé dans la rue, mais cette fois-ci parce que j'avais osé réprimander un jeune homme qui avait faillit me toucher avec son mollard...

Il y a également ces hommes bourrés, bien souvent, il s'assoit à côté de vous, et vous tape la causette "Heu jour euh, c'est dur la vie HIC, je veux dire euh, je suis au chômage quoi...". Et bien messieurs le chômage n'est pas une raison de boire, et peut-être même que la boisson entraine le chômage... Qui sait ?

Dernière anecdote ! J'étais assise sur un strapontin, je regardais mon cellulaire, quand à la station Buzenval, j'ai vu monter non pas un homme... Mais un pigeon ! Un vrai avec des plumes, deux pattes (rare à Paris ça), un bec tout ça quoi ! Le pire je crois est quand ce passager clandestin à décidé de voler. Je me suis mise à hurler et me suis caché sous les sièges. La honte garantie. Surtout quand je volatile est venu me voir ! Oui il est venu. Je suis sortie à la station suivante ! Et lui... Aussi. Heureusement, il n'a pas pris le métro suivant...


En villes, de nombreux habitants se plaignent des pigeons ou d'une surpopulation de pigeons. Le grief le plus courant est la dégradation des maisons ou immeubles par les déjections, celles-ci étant particulièrement acides.
Pour lutter contre ces volatiles, plusieurs méthodes sont employés, parmi lesquelles les pigeonniers contraceptifs ou la capture et stérilisation (ou ces putains de piques sur toutes les surfaces où ils peuvent se poser... ASSASSIN !)

Sellyne ;)

La ligne 14...

Souvenirs, souvenirs ! Je vous retrouve dans mon cœur et vous faites refleurir tous mes rêves de bonheur !

La ligne 14, que de grâce et de volupté dans cette ligne. Emprunté par beaucoup de personnes aux visages, aux mimiques, aux destinations différentes...

J'ai bien là aussi quelques histoires à vous raconter !

La première : Cette fois-ci tout était ma faute, il faut l'avouer. Crevée, je suis montée à Saint-Lazare, je me suis vautrée comme une petite crotte sur une banquette, j'ai mis mes écouteurs, balancé Katie Melua, et... Et Morphée est venu me prendre dans ses bras. Je me suis faite réveiller doucement à Olympiades, par un jeune homme blond, donc le manteau était souillé, par une grosse tâche, de ma bave... Je n'ai pas osé prendre son numéro. Étrange hein ?

La deuxième : Oh bordel, ce que je peux haïr ces gens là. Vous les connaissez. Vous les côtoyez. Vous les avez sûrement déjà réprimandé ! Ceux qui s'étale sur la barre, le téléphone en main... Qui écrase vos doigts au point de les faire enfler et rougir. Ce jour là, je n'étais pas particulièrement de bonne humeur. Ma cible fut une jeune femme. Jolie, talons aiguille, petit chignon bien fait, voix sensuelle, mais sans gênes, allègrement posée contre la barre, et surtout, contre mes petits doigts. Je ne sais ce qu'il m'est passé par la tête. Mais sachant que de toute façon, je ne pourrais la faire bouger vu qu'elle ne n'écouterait pas, je l'ai poussé aussi fort que je pouvais avec mon autre main, et gueulais "MAIS PUTAING CON C'EST MES DOIGTS LÀ ESPÈCE DE CABOURDE !", voyant son gracieux visage collé contre la vitre, j'ai bizarrement... Éclaté d'un rire sonore. Je crois que cette femme m'en vouloir à vie. Au plaisir chère compagnonne d'infortune !

La troisième : Je crois que c'était la plus choquante des histoires qui met arrivé sur la ligne 14. Heure de pointe. Typique, bordélique, les gens sont fatigués, veulent tous VITE rentrer chez eux... J'ai repéré une jeune femme avec une poussette (oui elles aussi je les maudis). Je me suis dit que jamais elle ne pourrait monter. Et j'avais raison ! J'étais au bord, les abdominaux horriblement contractés. Quand je l'ai vu pousser d'une force monumentale la poussette et la faire entrer, avant que les portes ne se referment, je l'ai entendu dire "Descendez le à Gare de Lyon !". J'ai cru à une blague. J'ai mis mes mains sur la poignée de la poussette et j'ai regardé à l'intérieur. Un petit être sans défense, beau comme un ange, dormait paisiblement... Un vrai ! Je l'ai comme prévu descendu à Gare de Lyon. J'ai attendu la mère. Je croyais à un Surprise sur prise ! Quedal. Elle est arrivée, m'a remerciée et est repartie. Sachez que j'étais tellement choquée que j'attends toujours que l'on me dise que c'était une caméra cachée. Je n'ai même pas pu ce jour là, lui hurler que c'était idiot, inconscient, etc etc...

La quatrième : Encore une histoire de poussette. Mais cette fois-ci, il s'agit d'un troupeau de jeune gazette black. Maquillée comme des travesties, habillée pour aller en boîte de nuit, là en pleine après-midi dans la ligne 14 ! Je n'en croyais pas mes yeux. Encore moins mes oreilles en entendant que leurs phrases commençait quasiment toutes par "Wesh" et finissaient par "Ta mère salope". Elles se battaient "amicalement". N'étant pas non plus de bonne humeur ce jour là, je n'ai pas apprécié du tout de recevoir un léger coup de coude dans le ventre. J'ai hurlé que c'était inadmissible, qu'elles avaient intérêt à se calmer, et ... Bon ok, j'ai fait mon petit roquet ! Voyant le visage inexpressif de la demoiselle la  plus proche, mon sang n'a fait qu'un tour, et CLAC, ma main et partie se poser sur ses joues rouges de blush. Oh oui, j'ai rapidement regretté. Surtout en descendant à Châtelet ! Trois furies se sont jetées sur moi, je me suis un peu battue. Mais quand la quatrième est arrivée j'ai abandonné ! J'ai tapé mon premier sprint dans une gare ! Heureusement que ces demoiselles portaient de haut talons et que l'une d'entre elle avait une poussette. Je crois que sinon je ne serais plus ici pour vous raconter tout ça.





La ligne 14 du métro de Paris est l'une des seize lignes du réseau métropolitain de Paris et la seule exploitée de manière complètement automatique en 2010.
Sellyne ;)

Souvenirs des escalators

Je suis sûre que vous avez tous connu des moments atroces dans les escalators. Pour ma part, je peux vous en conter deux ou trois !

Le premier : A la station Robespierre de la ligne 9 (qu'est-ce qu'elle peu avoir comme merde cette ligne ! Impressionnant), je suis sortie, et voyez vous, les escalators étaient les plus étroits que je n'ai jamais vu ! Néanmoins, juste devant moi, une dame à absolument voulu passer avec sa poussette. Le départ s'est passé normalement, j'ai pris un peu de distance "au cas où". Mais quand elle est arrivée en haut, le petit choc l'a faite bouger, et elle s'est retrouvée coincée. Quand vous voyez le passage bloqué et les gens derrière arriver, et bien vous montez en restant sur la même marche, tout en sachant que de toute façon BAM on vous arrive dans le dos et vous vous retrouvez en mode sandwich... C'est assez douloureux je dois l'avouer. Après une bonne minute et une dizaine de personnes empilées, elle a réussi à se débloquer. Vous trouvez normal qu'elle n'est pas daignée s'excuser ? Moi non, mais j'ai tracé mon chemin...

Le deuxième : Il y a les montées, et les descentes ! A Nation, je descendais. Tranquillement, souriante, émue de voir cette jeune mère avec son bébé, son bébé étrangement tourné vers l'extérieur. C'était d'ailleurs aussi la première fois que je voyais ça. Généralement ils regardent leur maman ! Mais je ne me suis guère inquiété. Je suis allée sur nos amis les escalators, la dame derrière moi... Et arrivé au milieu, un liquide chaud m'est arrivé sur les cheveux. Sachez que c'est une sensation très désagréable ! Surtout quand vous vient l'odeur du lait caillé... Oui, le gosse qui me faisait sourire quelques minutes auparavant m'a fait hurler de rage. La dame était certes confuse, mais bon, mes beaux cheveux noirs et propres étaient devenus blancs et biiiiiourk !

Le troisième : Cette fois-ci j'étais avec ma grande soeur... Nous avons des façons assez particulières de nous amuser. Nous montions donc les escalators un vendredi soir, dans un état d'ébriété très peu avancé (on était juste mortes de rire quoi), et on montait les marches une par une, en hurlant avec une voix proche de celle de Stitch "Un, Un, Un, Un...". Quand l'armoire à glace devant nous à je pense accroché son sac et nous est tombé dessus. Ma soeur m'est d'abord arrivée dans les bras, tentant de la retenir, je suis tombée sur la dame derrière moi, qui est elle-même... etc etc... Beau souvenir ! Maintenant nous ne faisons plus les folles dans les escalators !






Maximilien Marie Isidore de Robespierre ou Maximilien Robespierre, né le 6 mai 1758 à Arras (Artois) et mort guillotiné le 28 juillet 1794 à Paris, Place de la Révolution, était un avocat, et un homme politique français.

Sellyne ;)