jeudi 24 mars 2011

Les distributeurs

Je vais vous dévoiler un petit secret intéressant... Vous savez quand vous avez une petite faim, et que vous vous jeter avec votre monnaie sur un de ses petits distributeurs automatiques... Vous y introduisez 1€20 pour un Kit-Kat (I have a break, I have a KitKat), que vous dégustez avec plaisir, et bien sachez que vous vous faites royalement entuber. Savez-vous combien ils les payent eux les ces barres chocolatées ? Le prix d'achat est de 0,35€. Ah, oui, je vous l'accorde, vous commencez à bien la sentir là. Rajoutons qu'ils quadruplent quasiment le prix, ouais, je sais, là, ça vous fait carrément mal au cul...

Chers consommateurs, ne vous arrêtez pas à ça ! Continuez à consommer. Mais gardez une main sur vos fesses. Sait-on jamais...

Maintenant, un peu moins douloureux (pour vous) j'ai également quelques belles histoires ! Étant une espèce d'américaine j'achète en moyenne cinq barres chocolatées par semaine dans les distributeurs (petit calcul rapide 1,20 fois 5, heum, 6 putain d'euros par semaine), il m'arrive aussi des gribouilles.

La première, il me semble que c'était un jour de grève, étant tellement nombreux je ne saurais vous dire lequel, je me suis rendue sur la ligne 1. La belle jaune oui. Et, voyez vous, il y avait un monde dingue, je savais que je ne pourrais monter au prochain métro. C'est donc pour cette raison que mon estomac m'a rappelé que je serais en retard à la maison, et que mon goûter passerait à la trappe. Je me suis jetée sur un distributeur, armée d'une pièce de deux euros. Je l'ai délicatement posée en repérant le numéro des kitkat. Et au moment de monter le petit levier... Rien. La pièce n'a pas été prise. J'ai recommencé quatre ou cinq fois. Énervée, j'ai fini par changer de machine. Cette autre machine, je l'ai maltraitée, j'y suis allée comme une bourrine. Me coinçant le bout du doigt avant de voir ma pièce avalée. Ah oui, ça picote...

La deuxième, qui nous est tous arrivée ! On met la pièce, on tape le code. On attend, on attend, on attend... ZzZzZzZzZz... On hurle. Ni Kitkat, ni pièce rendue ! La rage n'est-ce pas ?

La troisème, un peu dans le même style ! On met donc notre argent, on tape notre petit code. On regarde l'automate jouer son rôle, et arf, il se gourre. Non mais je ne voulais pas la bouteille d'eau... C'est une machine spéciale régime ou quoi ?!




Au XVIIe siècle nous voyons apparaitre les distributeurs de tabac à priser. Déjà au début du XXe siècle des distributeurs automatiques étaient présents dans le métro parisien.
C'est cependant avec l'industrie et l'urbanisation que l'on a vu se développer ce type de machines qui répondait à une demande sociale.
Quant au premier distributeur automatique de billet, il a été installé en juin 1967 à l'agence Barclays de Enfield en Grande Bretagne, son inventeur, John Shepherd-Barron travaillait chez De La Rue. Il distribuait des billets de 10 livres en échange d'un bon en papier inséré par le client qui tapait ensuite son code à quatre chiffres.


Sellyne ;)

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